Chaquemaillot de Palestino-Gaza est plus qu’un simple vêtement : c’est un message, une mémoire, un hommage.
Derrière chaque design se cache une histoire, celle d’un martyr palestinien dont le sacrifice ne doit pas être oublié. À travers l’art et le football, nous donnons une voix à ceux qui ne peuvent plus parler, en intégrant leurs noms, leurs symboles et leur héritage dans nos créations. Découvrez comment nos maillots rendent hommage à ces figures de la résistance, mêlant passion du sport et engagement profond pour la Palestine.
Et derrière chaque matyr, il y a une famille qui porte le poids du vide, une souffrance silencieuse mais immense.
Ramadan Aboudipaa, surnommé Doudine, était un homme de courage et de dignité, une figure emblématique de la résistance palestinienne avant l'occupation. Expulsé de sa terre natale, il n'a jamais abandonné le combat pour la liberté de son peuple. Il a consacré sa vie à défendre l’identité et les droits de son peuple, incarnant la résilience face à l’injustice.
Son fils, Mohammed Aboudipaa, a hérité de cet esprit indomptable. Né en 1945, il a dédié sa vie à l’armée de l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP) combattant aux côtés de Yasser Arafat. Blessé dans les années 1980 au cours d’un affrontement, Mohammed n’a jamais fléchi. Il a mené de nombreux combats contre l’occupation, notamment au Liban et en Jordanie avant de tomber en martyr en 2007. Sa vie a été un témoignage de dévouement total à la dignité et l’avenir de son peuple.
Aujourd'hui, Waleed Aboudipaa perpétue cet héritage à travers son engagement et ses actions. Il porte fièrement la mémoire de son grand-père et de son père, ces hommes qui ont sacrifié tant pour tracer le chemin d’une quête inlassable pour la liberté et la justice.
Le maillot M-DOUDINE est un hommage à cette histoire familiale. Il est le symbole d’un héritage vivant, d’une lutte qui se poursuit, génération après génération. En le portant, vous honorez la mémoire de Ramadan, de Mohammed et de toutes les générations qui, comme Waleed se battent pour un avenir meilleur en Palestine.
Khalil Aboudipaa était bien plus que le frère aîné de Waleed : il était son héros, son enseignant, son mentor. Un homme d’honneur, guidé par une profonde humanité et un engagement sans faille envers son peuple.
Né en 1969 dans un camp de réfugiés palestiniens en Jordanie, Khalil a grandi avec la conscience d’un destin marqué par l’exil et la résistance. Très tôt, il a choisi de consacrer sa vie à la cause palestinienne, mêlant savoir et engagement. Ingénieur mécanicien de talent, il a intégré l’armée palestinienne en 1994, se distinguant par son excellence. Premier de son groupe des forces spéciales, il a rapidement gravi les échelons pour devenir un cadre essentiel dans un grand site militaire.
Mais au-delà de ses compétences et de son engagement militaire, Khalil était avant tout un homme de devoir, animé par une profonde humanité. En 2014, lors d’une offensive meurtrière sur Rafah, il n’a pas hésité à se précipiter, aux côtés de son fils, pour sauver les blessés sous les bombardements. Le 20 août 2014, une frappe aérienne israélienne a mis fin à leur vie alors qu’ils tentaient de secourir les victimes. Un père et son fils, unis dans le sacrifice.
Quelques temps après, sa femme a succombé aux effets des produits chimiques laissés par les bombes. Leurs quatre enfants sont devenus orphelins, portant à jamais le poids d'un destin brisé par la guerre.
Pour Waleed, la perte de Khalil a laissé une empreinte indélébile. Il a grandi sous son regard bienveillant, apprenant à ses côtés les valeurs du courage et du devoir. Aujourd’hui, il porte en lui son héritage.
Le maillot KHALIL est un hommage à cet homme d’exception, à son fils, et à tous ceux qui, par amour et par devoir, ont donné leur vie pour en sauver d’autres. En le portant, vous honorez leur mémoire et rappelez au monde que le véritable héroïsme réside dans l’humanité, le sacrifice et la transmission d’un héritage qui ne s’éteindra jamais.
Née le 25 Juin 2013, Andalouss avait seulement 10 ans lorsque son enfance et l'horizon d'un avenir meilleur lui ont été arrachés.
Innocente et pleine de vie, elle avait droit à la vie, à la paix et aux rêves.
C'était une enfant déjà dotée d'une grande force pour son jeune âge, drôle et intelligente qui avait la capacité de toucher les coeurs.
Elle adorait jouer et ce qui la distinguait particulièrement, c'était sa passion pour le dessin et les couleurs ce qui lui donnait déjà les traits d'une jeune artiste. Elle s'imaginait transformer le monde autour d'elle avec des tissus et des idées, insufflant à chaque création un peu de sa propre lumière. Elle rêvait simplement de devenir créatrice de mode.
Malheureusement, son rêve et son sourire ont été emportés par l'occupation Israélienne. Le 21 octobre 2023, lors d'une frappe aérienne visant la maison de sa famille, Andalouss, ses deux frères et sa soeur, ont été tués, innocentement, dans l'instant. Des enfants, des vies, arrachées dans la violence d'une guerre injuste, et des rêves anéantis sous les bombes.
Le maillot ANDALOUSS est un hommage à l'innocence fauchée, aux rêves brisés trop tôt, mais aussi à la lumière qu'Andalouss portait en elle. A travers ce design, nous honorons sa mémoire et celle des ses deux frères et sa soeur, arrachés à la vie par l'injustice. Chaque fil, chaque couleur raconte l’histoire d’une enfant qui aurait pu devenir créatrice de mode, mais dont le destin a été brisé par la violence de l’occupation. En le portant, vous faites vivre son souvenir et celui de tous les enfants martyrs de Palestine, rappelant au monde que leur histoire ne doit jamais être oubliée.
Mounir Aboudipaa né en 1996 à Rafah, surnommé affectueusement MIMO, était un enfant au grand cœur, toujours prêt à aider les autres, à tendre la main, à offrir son sourire. Il était le fils de Khalil et neveu de Waleed Aboudipaa, un homme de devoir et de courage, dont il suivait les pas avec admiration.
Né et élevé à Gaza, MIMO était un garçon manuel, bricoleur, toujours curieux d’apprendre et de construire. Il partageait avec son père cette passion pour le travail bien fait, cette capacité à créer de ses mains et à réparer ce qui était brisé, que ce soit un objet ou un cœur. Il grandissait avec des rêves simples : aider, être utile, devenir un homme de confiance et d’honneur, à l’image de son père. Il voulait devenir infirmier et soigner tous les blessés des bombardements.
Mais la guerre n’épargne personne, pas même les enfants. Le 20 août 2014, à seulement 14 ans, MIMO a suivi son père dans un dernier acte de bravoure pour sauver les blessés lors d’une frappe israélienne. Ensemble, ils ont couru vers ceux qui avaient besoin d’aide et ont été bombardés dans la même voiture. Ensemble, ils ont été fauchés par une frappe aérienne. Un père et son fils, liés dans la vie comme dans le sacrifice.
Le maillot MIMO est un hommage à cet enfant dont la bonté et l’innocence ont été arrachées trop tôt à cause des bombardements israéliens. En le portant, vous honorez sa mémoire, celle d’un fils, d’un frère, d’un héros malgré lui, qui nous rappelle que, même dans les ténèbres, la lumière de l’humanité brille toujours.
Khaled Nabhan était l’âme de Gaza, un grand-père aimant dont la tendresse a révélé au monde la vraie humanité du peuple palestinien.
Reem, sa petite-fille de trois ans, était son trésor, sa lumière. Chaque jour, elle partageait avec lui des moments empreints d’amour : imitant ses prières, nichée sur ses genoux, ou l’attendant à la fenêtre de leur maison de Deir al-Balah. Mais le 28 novembre 2023, alors qu’elle dormait paisiblement, un bombardement israélien a réduit leur foyer en ruines et arraché Reem à la vie.
Khaled, dévasté, a retrouvé son corps sous les décombres. La serrant contre lui pour la dernière fois, il murmura des mots qui résonnèrent dans le monde entier : "Elle était l’âme de mon âme." Ces paroles devinrent un cri silencieux, marquant à jamais le visage d’un homme brisé par la perte mais debout dans sa dignité.
Treize mois plus tard, le 16 décembre 2024, Khaled rejoignit Reem, victime d’un nouveau bombardement. Sa mort bouleversa ceux qui avaient vu en lui bien plus qu’un Palestinien : un symbole de résilience, de foi et d’amour face à l’injustice.
Le maillot KHALED incarne cet héritage : une histoire d’amour, de courage, et de mémoire. En le portant, vous rendez hommage à Khaled et Reem, et à tous ceux qui, dans l’ombre de Gaza, portent la lumière de l’espoir et de la dignité.
Hind Rajab, six ans, était l’innocence incarnée, une enfant dont les appels à l’aide ont révélé au monde la cruauté insoutenable subie par les habitants de Gaza.
Le 28 novembre 2024, la voiture de sa famille fut la cible de tirs dans les rues dévastées de Gaza. Hind, seule survivante, restait piégée, entourée des corps sans vie de ses proches : son oncle, sa tante, et ses trois cousins. Pendant trois heures, sa voix tremblante résonnait dans le combiné des secouristes, entrecoupée de sanglots. « Venez me chercher. J’ai peur, s’il vous plaît. »
Dans un dernier élan d’humanité, une ambulance s’élança pour sauver Hind. Mais à seulement quelques mètres de la fillette, elle fut frappée par des tirs délibérés, emportant les sauveteurs et le fragile espoir de la ramener à la vie. Hind s’éteignit seule, abandonnée par un monde incapable de protéger ses enfants.
Son histoire dépasse les chiffres anonymes et les bilans macabres. Elle est celle d’une vie précieuse, brisée dans l’attente d’un secours qui n’est jamais arrivé. Hind est devenue le symbole d’un appel déchirant à l’humanité, une voix d’enfant qui continue de résonner malgré le silence assourdissant de l’indifférence.
Le maillot HIND porte cette mémoire : celle d’un cri, d’un combat, et de l’innocence volée. En le portant, vous honorez Hind et tous les enfants de Gaza, rappelant au monde que chaque vie mérite d’être protégée, et que leur lumière ne doit jamais s’éteindre.
Dès sa plus tendre enfance, Mahmoud Al Namla, connu de tous sous le surnom de MAKER, était l’ami inséparable de Waleed Aboudipaa. Deux âmes liées par l’enfance, les rêves, les épreuves. Et même lorsque la vie les a séparés par des kilomètres, leur amitié est restée intacte. Jusqu’au bout, Maker a été un des plus grands soutiens de Waleed, toujours présent malgré la distance, un pilier indéfectible dans les moments de doute et d’épreuve.
Né en 1985 à Rafah, Maker a grandi avec une responsabilité immense sur les épaules. Très jeune, il a perdu son père et s’est occupé de sa mère avec une maturité et une force incroyables. Mais loin de se laisser abattre, il a fait de cette épreuve une motivation, une raison de bâtir et d’avancer.
Maker avait un talent rare : il savait reconnaître la vraie valeur des gens. Toujours à l’écoute, toujours prêt à tendre la main, il voyait en chacun un potentiel à révéler. Avec une énergie débordante et un regard tourné vers l’avenir, il a fondé deux entreprises à Rafah :
Un bâtisseur de rêves, un visionnaire, un homme qui croyait en l’avenir, même dans l’adversité.
Un détail amusant : Maker avait des cheveux blancs dès son plus jeune âge. Une particularité qui l’a toujours distingué et dont Waleed se souvient avec une tendresse infinie.
Mais le 12 décembre 2024, le destin a brisé son élan. Maker est tombé en martyr, fauché en pleine vie, emporté par l’injustice et la brutalité d’un conflit qui n’épargne même pas ceux qui rêvent, même pas ceux qui construisent.
Le maillot MAKER est un hommage à cet homme qui refusait de se laisser enfermer par les limites de son époque et de son territoire. En le portant, vous faites vivre son ambition, son optimisme et sa volonté de transformer la réalité. Vous honorez la mémoire d’un bâtisseur de rêves, d’un homme qui croyait en la lumière même au cœur des ténèbres.
Rami Fayyad était bien plus qu’un intellectuel brillant. Il était un passeur de savoirs, un bâtisseur de ponts entre les cultures, un homme animé par une mission : faire rayonner la langue française en Palestine.
Originaire de Khan Younis, il a suivi un parcours d’exception qui l’a mené jusqu’en France, à Rouen, où il a poursuivi de longues études en doctorat à l'université de Rouen-Normandie. Il a obtenu également un master en diffusion du français dans cette même université. De retour en Palestine, il fut coordinateur pour l'enseignement du français au consulat général de France à Jérusalem, conseiller pédagogique pour le français au Ministère de l'Education nationale dans la bande de Gaza, chargé de l'enseignement au département français à l'université Al-Aqsa, traducteur assermenté français-arabe. Son amour pour la langue française et son engagement pour l’éducation ont façonné son destin. Il a joué un rôle clé dans le développement linguistique et éducatif de son pays.
Son CV était aussi impressionnant que son humilité, mais ce n’était pas seulement un érudit : c’était un homme d’une profonde bienveillance, un guide pour ceux qui cherchaient leur voie. Pour Waleed, il fut bien plus qu’un mentor. Il fut un pilier, un soutien, un homme qui croyait en lui avant même qu’il ne croie en lui-même. Rami voyait le potentiel chez les autres et les poussait à atteindre des sommets.
En octobre 2024, son destin a été brutalement interrompu, laissant derrière lui un héritage immense et une absence poignante.
Aujourd’hui, son souvenir demeure vivant à travers ceux qu’il a inspirés, ceux à qui il a ouvert des horizons nouveaux, ceux à qui il a donné confiance.
Le maillot RAMI est un hommage à cet homme d’exception, à son héritage de connaissance, de transmission et d’engagement. En le portant, vous honorez la mémoire d’un visionnaire, d’un éducateur, d’un homme qui savait que la plus grande des résistances passe aussi par les mots, par la culture et par l’éducation.
Fathia Al Falite n'était pas seulement une professeure de français à Gaza. Elle était une femme d’une immense culture, une pédagogue passionnée qui croyait en la puissance du savoir comme outil de liberté. Son engagement pour l’éducation n’avait d’égal que son amour pour sa langue et son peuple.
Elle et Waleed ont suivi ensemble leurs études pour devenir professeurs de français. Ils partageaient les mêmes bancs, les mêmes rêves, la même volonté farouche de transmettre, d’ouvrir des horizons, de faire briller la lumière du savoir malgré l’ombre qui pesait sur Gaza. C’était une époque d’espoirs, de discussions infinies sur la littérature, sur l’avenir, sur les mille façons d’aider leur peuple à s’élever. Fathia a suivi à Vichy en France, une formation pour devenir professeur de français.
Mais en 2024, cette lumière a été brutalement éteinte. Un bombardement a emporté Fathia, son unique fille Elia qui rêvait de devenir médecin et 22 membres de leur famille. L’éducation, le savoir, l’avenir que portait Fathia ont été fauchés avec elle, laissant un vide abyssal dans le cœur de ceux qui l’ont connue.
Aujourd’hui, la série ELIA est bien plus qu’un hommage. C’est un serment. Celui de ne pas laisser disparaître ce que Fathia et tant d’autres ont consacré leur vie à bâtir. C’est un acte de résistance face à l’oubli, un témoignage vibrant que la culture et la transmission survivront à la destruction.
Porter le maillot ELIA, c’est perpétuer la mémoire d’une femme qui a cru en la force des mots, d’une fille au destin brisé et d’une famille entière balayée par l’injustice. C’est affirmer que l’éducation est un flambeau que personne ne pourra jamais éteindre.
Ahmed Awad Nabhan surnommé Mirou, n’était pas un homme qui cherchait à se faire remarquer. Il agissait dans l’ombre, œuvrant sans relâche pour que l’aide parvienne là où elle était la plus urgente. Intellectuel passionné, docteur en histoire palestinienne, ses connaissances ont guidé ses actions pour Gaza.
Né à Khan Younès le 1er septembre 1980, Mirou était profondément attaché à l’éducation. Après un master en histoire et sciences politiques en 2007 et un doctorat en 2015, il devint professeur d’histoire puis directeur d’école.
À Rafah, il était le cœur de Tabassam-Gaza, le pilier sur lequel reposait l’organisation de l’aide. Il donnait de l’espoir à ceux qui en avaient besoin, que ce soit pour distribuer des repas, fournir des médicaments ou apporter un peu de réconfort.
Pour Waleed, Mirou était plus qu’un ami. Il était un collaborateur fidèle sur qui il pouvait toujours compter. Son engagement n’était pas un choix, mais un devoir sacré.
Le 25 octobre 2023, la guerre l’a pris en pleine action. Il est tombé en martyr, donnant jusqu’à son dernier souffle, sans jamais compter les risques ou ses besoins. Il laisse derrière lui sa fille Abrar et ses trois garçons, Anas, Amir et Ahmed.
Aujourd’hui, Mirou n’est plus là pour organiser, mais son nom résonne dans chaque geste de solidarité qu’il a rendu possible. Son engagement pour son peuple et la Palestine perdurera.
Le maillot MIROU est un hommage à ceux qui, dans l’ombre, portent le poids du monde, sans jamais faiblir. À ceux qui donnent tout, même jusqu’à leur dernier souffle, motivés par l’amour, la solidarité et un profond sens de l’engagement.
En portant l’un de ces maillots, vous honorez leur mémoire tout en apportant un soutien concret : une partie des ventes est reversée à l’Association Tabassam-Gaza pour financer des projets humanitaires à Gaza. Ensemble, faisons la différence. En savoir plus sur notre engagement solidaire.
À travers ces dix créations, nous honorons la vie et le sacrifice de ces martyrs, en inscrivant leur héritage dans le tissu de notre histoire collective.
Porter l’un de ces maillots, c’est refuser l’oubli, c’est faire résonner leur nom au-delà des frontières, et affirmer que leur combat pour la justice et la liberté ne sera jamais vain.
Le football unit, l’histoire inspire, et la mémoire demeure.
Chaque martyr de Palestine nous rappelle que la lutte pour la dignité, la liberté et la justice est une cause qui ne meurt jamais. Mais au-delà du combat, il y a ceux qui pleurent, qui restent dans l'attente d'un futur volé. Que leur mémoire soit préservée et que les familles laissées derrière trouvent la force, le soutien et la paix qu'elles méritent. À travers ces hommages, nous transmettons leur héritage et la douleur qui nous unit tous
لن تموت فلسطين، فهي في قلوبنا
Les martyrs palestiniens, dont nous avons honoré ici la mémoire à travers ces hommages, ne sont pas seulement des victimes d'une guerre injuste, mais des symboles d'une résistance inébranlable. Chaque sacrifice, chaque vie perdue, nourrit un espoir commun : celui de l'unité et de la résilience d'un peuple qui refuse de disparaître sous le poids de l'oppression.
Dans ce contexte, l'article de Ramzy Baroud, "Dear World: This is What Palestinian Unity Looks Like", nous rappelle que, malgré les souffrances et les pertes, c'est dans les cendres de Gaza et dans la lutte quotidienne que se forge une solidarité indestructible. En célébrant la résistance et l'unité, même après les pires tragédies, les Palestiniens continuent d'honorer ceux qui ne sont plus là en affirmant leur droit à la vie, à la dignité et à la liberté. Les martyrs vivent à travers cette lutte collective, unifiée et sans fin.
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